Leurs parents sont des cultivateurs partagés entre les cultures vivrières et la culture du cacao pour subvenir à leurs besoins quotidiens de nutrition, source principale de maigres revenus au regard des petites surfaces qu’ils cultivent à mains nues. La rentrée scolaire intervient quand ils n’ont pas encore vendu la moindre fève de cacao et sont totalement démunis.
Améliorer l'environnement d'apprentissage dans les écoles primaires
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